Comme un rêve de pierre

Comme un rêve de pierre

 

Littérature mauricienne

Roman

Auteur 
Michèle Malivel

Parution
2007 – Ile Maurice

 

Editeur
L’Harmathan –  Paris

Extrait

« … Tout à coup, au hasard d’un carrefour, un éclat lumineux m’obligea à détourner les yeux. Un seul instant, une fraction de seconde, une image s’imprima dans mon esprit: celle d’un haut mur de pierre, de broussailles desséchées et, tout au fond, d’un toit de tuiles roses.

C’était un îlot hors du temps, posé au sommet d’une butte de champs verts de foin tendre. J’ai continué ma route avec une étrange impression. Une impression de possession et d’abandon que je n’arrivais pas à m’expliquer…. »

 

 

Revue de presse :

Renaud de DANCOURT Côte Nord N° 79- décembre 2007

Un écrivain hors du temps : …aujourd’hui, elle nous a concocté un régal à sa façon : un zeste de Daudet, une pincée de Conan Doyle, un effluve baudelairien, un accord de Brassens (Les copains d’abord) le tout passé au shaker et l’on déguste son dernier opus Comme un rêve de pierre, une saga provençale fleurant bon le mystère et la sérénité. Vous serez passionné par l’intrigue quasi-policière, vous palpiterez au rythme de la voix de l’héroïne, vous sourirez… bref vous passerez un moment délectable… à en redemander..

Yvan MARTIALL’Expresso – 11 novembre 2007
Comme un rêve de pierre… est avant tout une magistrale démonstration des relations harmonieuses qui doivent exister entre une demeure et, non pas ses propriétaires, mais ses occupants…
Malheur à qui se défait de la demeure léguée par les ancêtres ; il démontre seulement qu’il n’est pas digne d’eux… Nous devons devenir l’âme d’un corps qui est notre demeure ; nous devons mériter la maison
de nos rêves.

Sedley ASSONEMatinal – 14 novembre 2007
Une belle ode au devoir de mémoire… Merveilleux roman ou la narratrice littéralement « possédée » tombe amoureuse d’une maison en Provence qui tombe en ruines et qu’elle s’attellera à faire renaître de ses décombres… L’auteur a su transformer sa plume en pinceau… Il y a du Baudelaire dans l’écriture de Michèle Malivel. Il faut d’ailleurs lire ce livre comme on regarderait un tableau.

 

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